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Ce soir là, Il était passé me chercher chez moi, comme d'habitude.
Arrivés chez Lui, Il m'a proposé de boire un verre, et nous avons discuté avec du désir plein les yeux, anticipation de ce que nous savions qui allait suivre, comme d'habitude.
Une fois nos verres terminés... "Lèves toi", et je le fit. Le jeu commencait. Il me déshabilla entièrement, lentement, mais resta habillé. Je frissonnais, comme d'habitude.
Il me mit mon collier, et je me sentis défaillir. Il me mena à la chambre, en tirant légèrement sur la laisse. Je me sentais sienne. "Allonges toi", et je me mit sur le dos sur
le lit. Mes mains et mes jambes furent liés aux quattre coins. Je me sentais si... offerte. Ma chatte fut garnie d'un gros gode, écartèlement intérieur mi plaisir, mi douleur. Mon anus, recevait
un tout petit gode mais profond. Mes seins, chacun une pince à linge. Mes yeux furent bandés. Je me sentais vulnérable, mais excitée de l'être, pour lui. Il fit de lents va et vient avec le
gode dans mon ventre pendant qu'il embrassait langoureusement mes tétons si sensibles d'être ainsi pincés. Je sentais en moi le plaisir monter, en même temps que ma liqueur descendre. Puis ses
lèvres descendirent, plus bas, toujours plus bas. Jusqu'à ce qu'elle trouvent mon bouton, qui s'était exhibé de lui même. Hum... cette douce et humide caresse, sur mon point sensible, si fébrile
déjà. Puis tout d'un coup, mes lèvres aussi se retrouvent prises d'assaut. Elle qui se trouvaient déjà béantes d'attente de... Lui. Je me sens humiliée, de savoir ma chatte dévorée ainsi,
sans aucune résistance possible, ni dignité envisageable alors qu'Il aspire mes sécrétions. Je trouve cela sale, et pourtant j'y prend plaisir. Je m'écoule davantage. Ma respiration s'accélère,
j'ai chaud... "Non pas tout de suite", avec une certaine ironie dans la voix et Il se retire lentement, sans oublier un coup de langue à mon Mont.
Il ne me touche plus, je sens mon sexe pulser, comme s'il avait un coeur propre. Je l'entends s'assoir à coté de mon pied gauche. Un déclic de briquet... est ce une bougie ? Non,
l'odeur de son tabac. Il reste ainsi, combien de temps, je ne sais plus. Je pourrais presque jouir en restant immobile. "Je veux te voir", et Il enlève le bandeau. Il est
là où je l'avais deviné. Je ne peux détacher mes yeux de lui, lorsqu'il fume en détaillant tout mon corps. Je me sens cruellement nue et exposée. Mes yeux semblent dire "prends moi".
Mais il fume lentement, si lentement, en me caressant la jambe, à peine un effleurement. Puis en éteignant sa cigarette, ses yeux plongeant dans les miens... "Tu es à moi". Et
là, je me sens à Lui, à moi, libre et heureuse.
Il ouvre sa fermeture éclaire et me détache, m'enlève les godes et les pinces en pincant mon clitoris, déja rouge d'exitation. Il sort son sexe. Si large. J'en raffole. Il est dressé tel un obélisque. Je me mets à genoux sur le lit, et le prend entre les mains. Le caresse un moment, puis après l'avoir léché sur tous les côtés, je l'accueille dans ma bouche. D'abord, doucfement, puis plus rapidement. Il se gonfle encore puis "Regardes moi". Je continue donc de le sucer, les yeux dans les yeux. Et là, oui, je ne me sens plus qu'une suceuse. Il glisse ses doigts dans ma fente en même temps. Je suis partagée entre plaisir et honte. Plaisir, parce que c'est terriblement bon, honte parce que je me dis qu'il doit savoir que je coule encore et je ne peux m'empêcher de m' épancher davantage. Je ne contrôle plus. Et est envolée, le peu de pudeur que je tentais de garder. Puis il me remonta le visage en soutenant mon menton tendrement. "Tu suces de mieux en mieux". Je sens la fièreté monter en moi, parce que je lui ai fait plaisir et qu'Il est content de moi. Il se lève, le sexe toujours érigé hors de son pantalon.
Il joint ensembles mes bracelets de cuir, et me ramène en laisse vers le salon. Là, au dessus de la porte, il lève mes mains et les laisse suspendues. Mais comment ai je fait pour ne pas
remarquer ce nouvel anneau plus tôt ? Tout ceci n'est plus comme d'habitude du tout. Inconnu, même. Je reste ainsi, dans l'expectative, pendant que je l'entends dans mon dos, farfouiller dans le
coffre.
Ah, le bandeau de nouveau.
Je commence à m'inquiéter.
Puis je sens une douce caresse parcourir le long de mon dos et mes fesses, fine, délicate mais multiple à la fois. Du cuir. Je sens les lanières passer entre mes seins, un contact si doux et
ferme en même temps. Mes sens s'égarent. Le manche est déposé sur mes lèvres pour que j'embrasse cet instrument, signe ultime de consentement et de confiance. Et je le fit comme absente de moi
même. Puis un de ses pieds écarte les miens, et le manche plonge en moi quelques instants. "Tu sais ce que c'est ?" . "oui" m'entendis je répondre. Puis silence. J'ai le
temps de penser que "oui, je l'ai désiré, mais pourquoi maintenant, ce soir, comme ca ? non, j'ai changé d'avis, je ne suis plus sure, je suis pas prête, je ne veux plus". Le
silence se poursuit, ultime marque de Son respect, Sa dernière offre pour moi de renoncer. Cela crie à l'intérieur de moi, et pourtant, mes lèvres ne s'ouvrent pas pour parler. Sorte de
dénoncement, qui ne dit rien consent.
Je sens d'abord un souffle d'air, immédiatement suivit d'une claque. Pas de réelle douleur, juste un impact. "Je veux que tu comptes". Là, je me sens m'humidifier de nouveau.
Plusieurs coups suivent à une secondes ou deux d'écart. Je compte. Chaque coup augmente en intensité. Mon corps commence à se chauffer. Je ressens étrangement toute ma peau. Je compte toujours.
Puis plus de secondes d'intervalle, tout s'enchaine, les coups se suivent au rythme de son bras qui s'élance. Toute sa puissance est loin d'être utilisée, les coups, sont juste un peu appuyés. Ma
tête commence à s'embrumer, je ne ressens plus autant la morsure, juste le rythme qui me berce. Je ne compte plus, j'ai perdu le compte, et ne veux pas le retrouver. Sortir un son, me concentrer,
je ne peux pas, je ne veux pas. Cela m'empèche de partir, de me libérer. Je me sens comme sortie de moi même, la plénitude, la paix. Encore, encore, que cela continue. Rien n'existe plus que
cette musique sur le tambour de ma peau. Je commence à lâcher, je pèse sur mes bracelets de cuir. Et puis, un trou noir, où comme si, j'étais aspirée par l'immensité, je flotte. Je suis si bien.
Je voudrai ne jamais revenir. Et le rythme continu, ce n'est plus que musique maintenant, j'aimerai que cela soit plus fort, retrouver le cinglement, je ne le sens plus. je voudrai Lui dire, Lui
demander, mais, je ne peux plus parler. En réalité, je me rends compte que je ne peux plus bouger aucun muscle. Je ne suis plus aux commandes de moi même. Le rythme diminue, l'intensité aussi.
Cela s'arrête. je me sens ramenée à moi. "C'est assez pour une première fois", tout en moi hurle "Non !". Sa voix est lointaine mais le phare de mon port
d'attache. Je reviens de très loin. je ne soupconnais pas qu'il existe des contrées comme celle ci, je suis heureuse de le retrouver.
Il m'enlève d'abord le bandeau, puis détache mes poignets. Mes jambes plient un peu. Il me soutient tendrement et me ramène à la chambre. J'ai du mal à me retrouver dans mon corps, à émerger. Il
m'installe alors à quattre patte, mais appuie doucement sur mon cou, et le haut de mon corps s'affesse tout naturellement jusque ce que ma tête aille reposer sur l'oreiller. Il prend mes bras,
laissés lourds et balants le long de mon corps, et les rattache derrière mon dos. Je sens confusément ma vulve ainsi disponible. Il se déshabille, je suppose, je n'ai plus pleine conscience de ce
qui m'entoure. Je me sens étrangement épuisée, tellement détendue que j'en suis lasse. Il passe une main sur mes fesses, chauffées sous son martinet. Puis Il entre en moi et m'y caresse de
l'intérieur avec une telle sensualité... Malgrés que je ne suis plus tout à fait moi même, comme si une partie de moi était restée accrochée aux étoiles, je m'entends gémir. Je n'ai plus aucune
résistance, je ruissèle sur mes cuisses. Je sens son sexe en moi et c'est... tout ce que je veux. Je gémit, de plus en plus fort. Mais cela ne vient pas, je ne suis que de plus en plus attisée.
Je demande, je prie, je supplie, je pleure. Qu'Il me donne.
"Comment te sens tu là ?"
"Chienne"
"Alors ci c'est comme cela que tu te sens..."
Il se déchaina de toute sa puissance en moi. Des cris de plaisir s'échappaient de ma bouche alors qu'Il investissait brutalement
mon ventre, ses mains accrochées à mes hanches. "Tu es ma chienne, ma pute, ma soumise, à moi". Et je jouissais dans ces cris venus de mes tréfonds, que je ne savais même
pas exister. Je joussais comme jamais, pour lui, Mon Maître.
Je ne suis revenue véritablement à moi que bien, bien après, dans ses bras, détachée, enlacée, protégée, et couverte de baisers de reconnaissance, fièreté, tendresse... (amour ?).
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