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Lundi 29 septembre 1 29 /09 /Sep 18:34
j'ai commandé pleins de nouveaux jouets sur le net dernièrement. Il faut dire, que le célibat me tape sur les nerfs, alors, aux grands remèdes les grands moyens !

et... j'ai commandé des pinces simples à boules. Les moins pires du marché lol

j'ai donc essayé ca, de concert avec Monsieur, en relation virtuelle msn biensur. 

et bien, j'ai douillé quand je les ai mit, c'est pas les pinces à linge en plastique...

mais, après quelques secondes, déjà le première feu se calme. en fait, ce n'est pas tant qu'elles serrent qui fait mal, mais le fait qu'elles soient lourdes.

mais en réalité, j'ai adoré ca !!!

Après avoir jouit une fois avec, je trouvait que ca ne faisait presque plus mal, je les sentais pendre au bout de mes tétons, c'est tout.
Alors la deuxième fois que je me fais jouir, j'ai prit la chaine dans mes dents (à défau d'avoir un Maitre sur place pour le faire) pour tirer un peu dessus. Cétait absolument délicieux. Parce que c'était franchement inconfortable pou ma tête et mon petit cou, mais que si j'essayais de le redresser et bien je prenais le risque de titiller un peu plus mes pauvres tétons déjà bien malheureux !

enfin, j'ai bien profité de ce nouveaux jouets que je pensais insurmontale pour moi, et que je n'y arriverai jamais et tout et tout (comme d'habitude, j'avoue...). et j'étais si fière de moi. Alors biensur je sais, c'est bien petit, mais c'est le début d'un plaisir, et qui y a t il de meilleur dans le plaisir que lorsqu'on le découvre ???

Alors, on a discuté avec Monsieur que dans le futur (euh... je pense honnêtement pas si proche que ca, hein !) que je les porte pour sortir.
en réalité, ce qui me refroidit dans cette idée ce n'est pas tant d'avoir mal (même si ce sera très dur), mais c'est qu'on les voit. sous un pull... oui mais, je n'en ai pas, je suis habillée été comme hiver de la même façon... que faire alors ?

enfin bref, j'ai donc bien jouer avec mes pinces. En fait, le soir, j'avais la permisson de me faire jouir, et je n'y suis pas arrivée sans douleur, alros j'ai remi mes pinces !

moralité, le lendemain, hyper mal aux tétons, à tel point que rien que le frottement de mes fringues, et le poids de mes seins étaient douloureux. cela à durer toute la journée. Le lendemain... croutes sur les tétons, et tétons tout rugueux et dur, et très mal encore. Par contre, lorsque j'ai prit ma douche, l'eau très chaude à coulé dessus, et j'ai bien cru qu'on me brulait avec un tison ! c'était horrible. j'ai vite retiré le jet. mais, finallement, je l'ai rapproché petit à petit, tout doucement, jusqu'à ce qu'il soit sur mes tétons, et cela faisait mal... d'une facon délicieuse.  et tout d'un coup, sans y comprendre qui que ce soit, j'ai faillit jouir ! quelque chose m'a traverser mais tellement rapidement que je n'ai pas eu le temps de m'y abandonner... c'était surprenant, mais génial !

bon, je dois bien admettre que ca ressemble à être maso ca, mais bon... j'avoue pas encore, na !

vu l'état de mes tétons, j'ai essayé de mettre mes pinces au sexe le lendemain, mais là par contre, je n'ai pas supporté, que ce soit aux lèvres ou au capuchon... trop dur pour moi...
Par Justine - Publié dans : Journal
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Vendredi 26 septembre 5 26 /09 /Sep 12:36
hier, en relation msn avec Monsieur, je devais me pénétrer de mon gros gode (qui maintenant que j'en ai un de 6cm me parait bien petit finallement) me caresser avec mon vibro à clitoris, mais sans jouir biensur... je n'ai tenu que 30 minutes, et je ne l'ai même pas prévenu que j'allais jouir, alor j'ai eu droit à une punition.

sévère à mon gout...

jambes attachée écarté, pénétrée du gros gode plus caresse avec le vibro à clitoris, pinces aux tétons plus lèvres pendant 30 minutes, et serrer mes seins jusqu'à ce qu'il violassent.(ce qui franchement quand on le fait soi même avec du matériel pas forécement adéquat... n'est pas facile).


voici le compte rendu que j'ai fait de cette soirée :


alors, en ce qui concerne le serrage des seins... il va falloir que j'améliore ma technique et mon matériel. la courde était trop courte, et plastique un petit peu donc difficile à nouer. et c'est pas facile de serrer assez fort sur soi... j'ai fait ce que j'ai pu. néanmoins ce qui me semblait làche au début, est devenu contraignant lorsque j'ai commencé à respirer plus fort, et à gémir... et pis j'ai aimé avoir mes petits seins serrés lorsque je portais les pinces.
 
les pinces... j'arrive à les garder 30 minutes en me caressant... ce qui est étrange, c'est que, jai mal et pourtant quand je me caresse et que je suis au bord de l'orgasme avec mes pinces, je ne vois pas le temps passer. la douleur est là, c'est tout, elle m'accompagne, elle se fait loingtaine... c'est pourquoi, j'ai décidé d'essayer de remettre une pince pour serrer celle déjà en place... j'ai tenu comme cela 10 minutes, j'aurai peut être tenu une minute ou deux de plus mais... j'aurai jouit, alors j'ai enlever les pinces qui serraient les premières. et là, je n'ai plus senti les premières tellement cela en abaissait la morsure, et puis c'est tout doucement revenu... mais c'était une petite morsure excitante, pas vraiment douloureuse... je suis resté comme ca 15 minutes...
 
j'ai donc garder les pinces 55 minutes en tout !!! mais, j'ai du arrêter parce que je commencais à me demander si mes tétons n'allaient pas tomber, et parce que vraiment, je ne pouvais plus tenir l'orgasme à distance... avec le gode et le vibro...
 
Moralité, le plus dur aura été de ne pas jouir, après, j'en aurai bien eu besoin et surtout j'en avait très envie. ca a été une grande frustration d'avoir de l'a douleur, sans qu'elle mène à l'orgasme. je crois que pour moi, c'était ca, la vraie punition, plus que les pinces en elles même.

ce matin, j'avoue que j'ai mal aux seins... j'ai les tétons hyper fragiles, et sont réactifs à chaques contacts ! j'aimerai porter un soutien gorge pour éviter cela, mais je n'ai pas le droit de porter de sous vêtement alors sans autorisation...

j'ai recu les pinces boules que j'avais commander. à vu de nez (testées sur mon doigt), elles ne serrent pas beaucoup plus que mes pinces à linge les plus dures... par contre, elles sont beaucoup plus lourdes...
Par Justine - Publié dans : Journal
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Mercredi 24 septembre 3 24 /09 /Sep 11:48
Hier soir, c'était la veille de soutenance de mémoire où je mettais en jeu 4 années d'études. je me sentais très mal, stressée, au bord de la crise de panique, je récapitulais mon discour, et je récapitulais mes récapitulations...  je me sentais oppressée...  dans ces cas qu'une seule solution, la douleur, j'avais besoin de décoller.

je me suis donc dit que pourquoi pas faire la punition des pinces !

Tout d'abord, il faut dire que Monsieur, m'a très gentiement proposé une alternative. Comme je disais que je ne tiendrai pas 5 minutes, il m'a proposé de ramener le temps à 1 minutes, mais à la condition de rajouter 3 pinces de plus.
j'ai mit longtemps à me décider, puis je me ne suis dit que je préferais la punition initiale. Tout d'abord, parce que l'autre était un rabaissement de la première, ensuite, parce que j'avais peur de mettre trop de pinces.


j'ai donc prit mes petites pinces à linges...m'en suis mit une sur chaque lêvre et une sur chaque sein, je les ai positionné trois fois avant de réussir comme il faut.

la douleur c'est tout de suite infiltrée, surtout dans mes seins. Cela m'a vrillé le tétons et ca a irradié dans tout le sein.

c'était insupportable. Mais il fallait tenir, m'occuper l'esprit. j'ai donc mit un bon film, écoute mon mp3, rien n'y faisait, j'ai finit par faire des photos car à faire soi même, c'est pas simple et donc, ca occupe bien l'attention.
cela n'a duré qu'un temps...

puis je n'ai plus rien eu à faire pour me changer les idées, je commencais à être excitée... je me suis dit "tiens encore, encore un peu, chaque seconde est une seconde gagnée". En fait, je luttais de toutes mes forces contre la douleur, et pis, quelque chose a changé en moi, je me suis fondue dans cette douleur, je ne la combattais plus, j'allais au devant d'elle, je crois que j'avais moins mal, je ne sais plus trop, cette douleur faisait partie de moi, ce n'était plus une ennemie.

finallement ,j'ai porté les pinces aux seins (c'est le plus douloureux) pendant 12 minutes, et celles aux sexes 17 minutes... autant dire que je suis fière de moi ! et pour me récompenser, Monsieur, m'a jugée digne de retourver mon statut d'apprentie !!! Je lui en suis très reconnaissante !

évidement, le pire, cela a été de les retirer, là la première douleur que j'avais ressentit est revenue, mes seins me semblaient transpercés.

cela dit, tout cela m'avait bien excitée quand même... car je me caressais pour supporter la douleur... je me suis donc fait jouir (j'avais quartier libre en ce qui concerne mon droit de jouir) avec mon gode le plus dur. Un pas très gros mais avec petits picot sur toute la longueur, ca racle quand il passe, ca fait un peu mal... mais on se sent bien prise. C'est celui que j'utilise quand j'ai besoin de me faire mal, il pourrai aussi servir de punition.

je me suis endormie ensuite comme un bébé, libérée de toutes mes tensions.

Mais je me réveille à 4h00 du matin avec les mêmes doutes, les mêmes tensions... j'ai donc décidé de me refaire jouir ! Bon cette fois, ci j'ai prit mon gros gode et mon vibro à clitoris (je suis folle de ce truc !), mon petit plug et... j'ai remi les pinces aux seins. j'avais besoin d'avoir mal, encore. Je n'ai pas fait attention mais j'ai mit des pinces plus serrées et j'ai eu super mal. mais tant pis. j'ai eu du mal à me faire jouir à cause de la douleur, d'autant plus qu'en allongeant le bras pour faire aller mon gode dans ma chatte, la pince du sein gauche glissait et tombait, et je devais la remettre sinon la douleur était déséquilibrée...
Une fois que j'ai jouit même si de façon douloureuse... je me suis sentie tellement apaisée.
Par Justine - Publié dans : Journal
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Mardi 23 septembre 2 23 /09 /Sep 14:24
j'ai récolté 5 punitions entre celles que j'ai eu avant mon départ en vacances et celles que j'ai eu pendant celles ci.
je préférais silencieusement qu'elles soient regroupées en une et mon souhait a été exaucé même si je ne m'attendais pas à ce qu'elles le soient de cette façon (et encore ma plus grande peur n'a pas prit forme...).

résultat : pinces sur les tétons et les grands lèvres pendant 5 minutes (soit une minute par punition)

Je sais que cela peut paraite pathétique à beaucoup mais cela me semble insurmontable. Je ne sais si c'est la douleur effective ou ma peur fantasmatique qui me fait le plus parler, mais cela me terrifie.
Evidement, j'en ai fait par à Monsieur, en promettant de faire de mon mieux mais en admettant qu'il est plus que certain que je ne tiendrais pas 5 minutes. Peut être une ou deux à peine, et aux prix de grands efforts sur moi même.

Il a répondu qu'il y réfléchissait depuis qu'il avait donné cette punition. Qu'il "savait que la douleur serait insoutenable pour moi, mais que la punition était donnée". Et moi je me dis "mais comment font les autres avec leurs poids au bout des pinces et qui les portent pendant des heures?! ". Suis si nulle que cela, moi, qui au bout de 30 secondes crie au supplice !!!
Ce qui m'a fait plaisir dans cette réaction, c'est de me dire qu'Il m'a entendu et qu'il prend conscience de ce que cela représentera pour moi. Je me mets à sa place, et je comprend qu'il ne veuille pas revenir sur une punition ce qui pourrait peut être signifier "perdre la face", bien que revenir sur une appréciation un peu difficile pour une soumise et/ou apprentie et/ou chienne (peu importe au fond) selon ses indications à elle, est pour moi plus signe d'écoute que de "perdre la face", mais... je le comprend dans un sens alors... après tout, je n'ai pas promi que j'y arriverai, juste que je ferai de mon mieux. Et, j'espère qu'il ne brisera pas le peu de confiance que je peux avoir en lui, en me punissant de ne pas y arriver. Je pense qu'il sait que cette punition est hors mes moyens, et je ne vois pas l'intéret de donner des punitions qui en engendrent d'autres parce qu'elles auront échoué... (je veux bien me soumettre mais je ne suis pas débile non plus).  Je préfère partir de petit pour monter, que d'être au maximum et de n'avoir plus rien à gagner. Mais je pense qu'il est assez intelligent pour comprendre cela. Un bon dominant dirige sa soumise, il ne la brusque pas. Surtout que étant donné mon caractère... braquer moi, et s'en est finit.

Comment puis je avoir un minimum confiance en un homme rencontré sur internet ? Et bien premièrement, il a accepté que tout cela soit virtuel. S'il avait voulu me faire du mal, il aurait voulu du réel, ou alors j'aurai eu le sentiment d'une échéance pour que cela le devienne, hors ce n'est pas le cas. Deuxièmement, il ne m'a jamais promis ni demandé que je sois sa soumise, il accepte de me rendre ma liberté dès que je le souhaite, et il m'encourage à trouver quelqu'un qui corresponde avec ce que je recherche (donc il ne cherche pas spécialement l'emprise). Troisièment, je ne l'aime pas et lui ne m'aime pas non plus, ce qui limite bien des dérives. Quatrièment, après avoir avoué avoir bu un peu alors que j'effectuais certains de ces désirs, il m'a fait "signé" un contrat, une sorte de pacte de confiance, comme quoi je ne boierai plus lors du jeu, s'il m'avait voulu du mal, je pense qu'il n'en aurait que faire, que je sois défoncée pour faire ces caprices !

revenons à nos moutons... les pinces...

Mon ancien et premier Maitre, le seul avec qui j'ai expérimenté les pinces (mais pas plus de quelques minutes), me laissais les poser parce que comme il était novice dans la domination, il avait trop peur de mal les mettre, de me faire mal et de m'endommager les seins. Même si restrospectivement, je trouve que cela est très respectueux et sentimentalement "mignon", je me dis que lorsque l'on est attachée et que le Dominant décide de mettre des pinces il mets lui même...

oui, je me dis que cela va trop vite, trop fort. En même temps une partie de moi me dit qu'il faut bien commencer un jour quelque part.
je ne sais pas pourquoi je suis autant réticente à la douleur des pinces alors que je le suis moins à celle du martinet, en fantasme en tout cas. Peut être parce que le martinet claque, mord, pendant quelques secondes avant le prochain coup, ce n'est pas une douleur continue, et encore moins sur une partie extrêment sensible de mon corps. Alors que les pinces ca mort comme de vraies petites machoires tout le long qu'on les portes, et lorsque l'on n'en peut plus et qu'il faut les enlever, cela fait encore plus mal, si bien qu'on appréhende peut être plus le moment de les retirer une fois qu'on les portent...

Je ferai cette punition oui, jusque mes limites (même si elles sont décevantes), et peut être un peu plus (chrono à l'appui, car une seconde de plus sera déjà un reccord) parce que je détéste me décevoir et perdre mes défis. En général, je ne joue que pour gagner, mais je crois bien que dans le milieu du BDSM ou D/s, je devrai revoir mes positions ;)
Et je ne veux pas que Monsieur, se lasse d'une jeune prude complêtement novice qui ne peut rien faire. Alors qu'il a du connaitre des soumises avec bien plus d'expérience que moi, à même de réaliser ses désirs.

Je sais qu'il peut paraitre que je suis prête à donner beaucoup (trop ?) pour quelqu'un que je n'ai jamais rencontré, que je ne connais que par msn, mais n'ayez crainte, j'ai passé l'age d'être conne (à mon détriment évidement), je ne me ferai plus avoir, non, je ne pense pas. Ou alors par l'amour, mais puisque ce n'est pas le cas... C'est juste qu'il m'inspire confiance, et qu'il m'a donné quelque fois preuve que j'avais raison. Et pis, désolée de l'avouer au risque de donner raison à tout le monde mais... ce n'est que virtuel, et par conséquent, je garde une forme de controle...
Par Justine - Publié dans : Journal
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Lundi 22 septembre 1 22 /09 /Sep 20:46

Par où commencer ce post…

 

Je dois dire que je n’étais pas forcément partante pour parler de cette relation virtuelle que j’entretiens depuis un peu plus de deux semaines, par pudeur. Mais après tout, j’ai crée un blog, et il faut bien que je le fasse vivre.

 

Un peu plus d’information sur cet homme : c’est une relation virtuelle, deviendra t elle réelle peut être, à vrai dire je n’y pense pas car je suis satisfaite comme cela. Il faut savoir que nous ne sommes rien promit, et que nous ne cherchons pas tout à fait la même chose, alors il est peu probable que cela débouche sur une « vraie » relation BDSM. Cela dit, il est à mon écoute, j’essaie de le satisfaire autant que je peux… il me fait progresser, pour que je suis plus disponible et ouverte dans mes pratiques lorsque je trouverai celui qui deviendra mon Maître. Je lui fait un peu confiance. Pour lui c’est peu, pour moi c’est énorme. Advienne que pourra, comme on dit !

 

Nous avons commencé par un travail anal, et quelques ordres.

 

Le travail anal était difficile pour moi, car je suis très fragile de ce côté là. J’ai toujours souhaité pouvoir satisfaire un homme de cette manière. Même si j’ai déjà été sodomisée, cela ne pouvait l’être car je souffrait, et mon partenaire de l’époque devait se retenir. J’aimerai que cela se fasse de façon naturelle, et avec plaisir, même si en ce qui me concerne cela sera plutôt cérébral  à mon avis. Au début je supportais difficilement mon plug (2,5 cm) plus de trois heures… quelle ne fut pas ma victoire lorsque j’ai dormit avec, puis que je l’ai porté pendant plus de 17 heures. Si bien, que j’avais un peu mal à l’introduction (mal, ou je n’aime pas la sensation tout simplement ?), mais après je ne le sentais plus, ou alors il avait tendance à m’exciter. Alors que je pensais à prendre la taille au dessus (et j’apprend aujourd’hui que Monsieur y pensait aussi !), une suite de circonstances on fait que je n’ai pu le porter pendant plus d’une semaine, et ne peux toujours pas, il va falloir reprendre tout à zéro, et je m’en sens un peu déprimée, je dois dire.

 

Les ordres de départ principalement d’exhibition, ont été très durs pour moi, voir impossible pour la majorité. En effet, je ne suis pas du tout porté sur ce genre de pratique, j’ai été déçue de ne pouvoir le satisfaire, mais c’est une de mes limites.

 

On expérimente aussi le contrôle de la masturbation… mener le plaisir jusqu’à l’extrême limite puis tout arrêter plusieurs fois avant de jouir ou ne pas jouir après, ou abstinence totale. Je dois dire que j’adore cela. Cela me rend complètement folle de frustration quelque fois, mais j’aime me sentir contrôlée. Lorsque je suis frustrée, et que j’en mord le drap de ne pouvoir jouir, je me sens vraiment animale, chienne… pute même, je ne me sens qu’un sexe. Alors c’est vrai que cela est rabaissant, mais j’avoue aimer cela. Pas dans ma vie de tous les jours, dans toutes les situations mais quelques fois oui.

Lorsque je dis que j’aime me sentir pute, il n’y a aucun rapport avec la prostitution, je le signale.

Je souhaite juste que ce contrôle n’aille pas trop vite, pas trop fort. Quand il me demande 7 fois de monter presque jusque l’orgasme sans le satisfaire et de ne pas jouir du tout, une certaine colère monte en moi par moment, je me dis « mais est ce qu’il se rend compte de ce qu’il demande là ? » ou « oui, il se rend compte et le fait exprès pour que j’ai une punition ? ».

Mais au final, c’est moi qui l’est demandé. J’ai fait en sorte qu’il me considère comme cela. Il a lut entre les lignes et m’a satisfaite. Mais j’avoue que quelque fois ce statut de chienne me pèse, et j’aimerai retrouvé quelque chose qui se rapproche d’apprentie. Ce statue de chienne serait alors une punition… ce qui pour l’instant est ma condition. Même si la plus part du temps, cela ne me déplait pas.

 

Je posterai donc ici, mes rapports que je lui envoie, d’autres fois non, je ne sais pas.

Ce qui est certain c’est que dire des choses très intimes et dégradantes à une personne est différent que l’envoyer sur le net, où des personnes que je « connais » vont les lires, même si je sais qu’elles ne jugeront pas. De plus, je n’ai pas la prose des personnes que j’admire en ce domaine alors…

Je me surprend des fois de ce que je lui envoie, parce que j’écris mes rapports en temps réel ou presque, le plus possible. Donc je suis dans l’émotion du moment, lorsque je les tape le lendemain et donc les relies, quelque fois j’ai honte de ce que j’ai pu écrire et ressentir… il faut que j’apprenne à admettre mes fantasmes…

 

J’apprend à marcher…
Par Justine - Publié dans : Journal
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